L'ASPCN, TOUJOURS AUSSI ACTIF, VEUT FRANCHIR UN CAP
La saison Élite a été paradoxale car au moment de l’arrêt pour cause de Covid 19 du championnat, les nîmoises étaient dernières. Mais si elles n'avaient pas gagné un seul match, elles étaient passé quasiment à chaque fois à quelques centimètres de retentissants exploits. Comme me l'a dit au téléphone Olivier Skenadji qui est le manager général coordonnateur des équipes techniques du club, "ces matchs on aurait pu les gagner mais on les a tous perdu". Pendant un confinement vécu chacun chez soi avec une salle fermée et réquisitionnée pour une association venant en aide aux personnes démunies ou le club a mis ses 3 salariés au chomage partiel, la fédération a gelé tous les championnats et tous les classements. Les filles se maintenaient donc en Élite. Pour garder un contact, le club lançait donc des challenges sur son facebook. Mais durant cette période, tout le monde en a profité pour souffler et commencer à préparer la saison prochaine. Le projet "Gard'O'Ping" qui sont des stages d'été sont revenus sur le devant de la scène. Pour Olivier Skenadji, c'était important "on voulait que l'ASPCN soit valorisé par ces 6 semaines de stages (qualité du travail, présence d'équipe de France de jeunes et de joueurs pro). Avec Florian Habuda, le coach, on a tout reposé à plat pour tout bine préparer si tout cela est possible bien sur"
Tous les championnats ont donc été gelé et les partenaires de Rachel Moret sont donc maintenues. "On va passer à un Top12 qui va être une année de transition, avec des matchs secs et plus de matchs aller retour et une seule descente" m'explique Olivier. Alors qu'il ne constate aucun départ, le club se veut ambitieux chez les filles et veut recruter une Top joueuse, une numéro 4 qui sera une jeune française ou une jeune tout court. Et Sarah Hannfou dont l'objectif est les JO qui auront lieu l'été prochain jouera surement un peu plus.
Au niveau des objectifs, déjà pour le manager du club, un changement a été appréciable. "Avec ce virus, on a su qu'on était maintenu bien plus tôt que l'année d'avant donc on a eu du temps pour préparer la saison prochaine. On souhaite que les filles soient sur place, on ne veut pas de mercenaires. On vise donc le maintien pour ce qui serait une 4e année consécutive en Élite. Après on sait qu'entre la descente et l'Europe c'est très serré et très homogène donc si on peut inaugurer l’agrandissement de la salle en jouant l'Europe on ne s'en privera pas". Au niveau des garçons, l'entente que le club à avec Montpellier vise clairement la montée en ProB. Il y a des renforts mais aucune certitudes de monter car le niveau de cette N1 augmente chaque saison. L'entente va essayer de se battre avec ses armes autour d'Alexis et Felix Lebrun.
Chez les jeunes, le temps est au beau fixe avec le pole national sud Nîmes/Montpellier qui fonctionne bien et qui est une véritable émulation pour tous les jeunes. Enfin en Handisport, tout reste possible pour Fanny Bertrand et Alexandre Delarque pour la qualif pour les Jeux Paralympiques de Tokyo. Les TQO n'ont pas eu lieu avec le virus et sont reportés donc les deux représentants de l'ASPCN sont toujours en course pour des Olympiades.
Pour conclure, Olivier Skenadji rajoute que l'ASPCN s'était positionné sur une candidature des championnats d'Europe en 2021 mais qu'avec le report des JO, le lub de la capitale gardoise fera plus surement acte de candidature pour 2023...a quelques jours des JO de Paris. Ce qui serait un beau symbole pour le tennis de table français et le gardois Jean Philippe Gatien, membre très actif du comité d'organisation Paris 2024.
Tous les championnats ont donc été gelé et les partenaires de Rachel Moret sont donc maintenues. "On va passer à un Top12 qui va être une année de transition, avec des matchs secs et plus de matchs aller retour et une seule descente" m'explique Olivier. Alors qu'il ne constate aucun départ, le club se veut ambitieux chez les filles et veut recruter une Top joueuse, une numéro 4 qui sera une jeune française ou une jeune tout court. Et Sarah Hannfou dont l'objectif est les JO qui auront lieu l'été prochain jouera surement un peu plus.
Au niveau des objectifs, déjà pour le manager du club, un changement a été appréciable. "Avec ce virus, on a su qu'on était maintenu bien plus tôt que l'année d'avant donc on a eu du temps pour préparer la saison prochaine. On souhaite que les filles soient sur place, on ne veut pas de mercenaires. On vise donc le maintien pour ce qui serait une 4e année consécutive en Élite. Après on sait qu'entre la descente et l'Europe c'est très serré et très homogène donc si on peut inaugurer l’agrandissement de la salle en jouant l'Europe on ne s'en privera pas". Au niveau des garçons, l'entente que le club à avec Montpellier vise clairement la montée en ProB. Il y a des renforts mais aucune certitudes de monter car le niveau de cette N1 augmente chaque saison. L'entente va essayer de se battre avec ses armes autour d'Alexis et Felix Lebrun.
Chez les jeunes, le temps est au beau fixe avec le pole national sud Nîmes/Montpellier qui fonctionne bien et qui est une véritable émulation pour tous les jeunes. Enfin en Handisport, tout reste possible pour Fanny Bertrand et Alexandre Delarque pour la qualif pour les Jeux Paralympiques de Tokyo. Les TQO n'ont pas eu lieu avec le virus et sont reportés donc les deux représentants de l'ASPCN sont toujours en course pour des Olympiades.
Pour conclure, Olivier Skenadji rajoute que l'ASPCN s'était positionné sur une candidature des championnats d'Europe en 2021 mais qu'avec le report des JO, le lub de la capitale gardoise fera plus surement acte de candidature pour 2023...a quelques jours des JO de Paris. Ce qui serait un beau symbole pour le tennis de table français et le gardois Jean Philippe Gatien, membre très actif du comité d'organisation Paris 2024.
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