MARINA BOUQUET, QUE FAIS TU PENDANT LE CORONAVIRUS?
Le Coronavirus a stoppé net le monde du sport. Et le sport gardois n'a pas été épargné par cela. Plus de compétitions, plus d'entrainement d'équipe. J'ai décidé durant cette période d'aller à la rencontre des sportifs gardois, des coachs gardois, des présidents gardois et des clubs gardois pour savoir comment ils vivent ce moment inédit. Après Charlène Clavel ce midi, c'est un autre sacré bout de femme que la Lozère nous a prêté...sportivement parlant. Marina Bouquet a certes mis un peu sa carrière à l'AC2A entre parenthèse pour privilégier son entrée chez le prestigieux corps des Sapeurs Pompiers de Paris mais attention des que l'on aura retrouvé une vie a peu près normale elle est de retour. Et vu ses résultats de 2019, on peut s'attendre a du très lourd. Retenez bien son nom.
JS30: Quel est ta situation actuellement? Ou est ce que tu es? Et dans quel état d’esprit?
MB: Je n’ai pas le temps de m’ennuyer, j’alterne entre 120h de garde dans une caserne sur Paris et 120h de repos ou je rentre en Lozère me ressourcer.
Le temps passe donc beaucoup plus vite, je plains d’ailleurs ceux qui sont enfermés dans leur appartement, avec des enfants...mais il faut prendre son mal en patience.
JS30: Tu continues à t’entraîner? Qu’est ce qui est prévu à ton programme d’entraînement?
MB: Oui je continue de m’entraîner quotidiennement, en caserne deux fois par jour, cardio le matin et musculation le soir.
Et en Lozère j’ai la chance de pouvoir courir 1h par jour à côté de la maison dans la nature, de faire du home trainer, du renforcement musculaire...
JS30: Tu vois la suite des événements de quelle façon? Comment tu occupes tes journées?
MB: Les choses ne vont pas beaucoup changer pour moi, quand je suis sur Paris le rythme est toujours aussi intense.
Et en Lozère je n’ai pas le temps de m’ennuyer, je profite de ma maman, de mon chien, je m’entraîne, je révise, je lis, je joue à la pétanque... vivement la fin du confinement pour pouvoir partir loin dans la nature, sans limite de temps, dans nos grands espaces comme l’Aubrac ou les Gorges du Tarn, de retrouver des amis...
JS30: On ne peut pas faire un trait sur ces 8 mois de compétition, que retiens tu de la 1ere partie de saison, quel est ton meilleur souvenir?
MB: J’avais déjà mis l’athlé entre parenthèses pour me préparer sérieusement à la BSPP ( Brigade Sapeurs-Pompiers de Paris), donc je n’ai pas de souvenirs de courses à raconter sur cette première partie de saison.
Il me tarde simplement de raccrocher un dossard, de partir dans la montagne, de m’entraîner avec mon coach Christopher Berraho, de courir aux couleurs d’Ales, mais c’est pareil pour tout le monde, il va falloir attendre...
JS30: Une anecdote sur ton confinement?
MB: Je ne suis pas une star du vélo mais j’ai ressorti un vieil home trainer de mon garage pour garder la forme.
Hier j’ai mal accroché ma roue arrière...en 2 coups de pédales je me suis retrouvée par terre, la tête dans la baie vitrée de mon salon, c’était assez comique!! Heureusement aucun voisin ne m’a vu (rires)
JS30: Allez pour finir, quel est ton message face à ce Coronavirus?
MB: Prenez bien soin de vous en cette période difficile, il faut s’armer de patience en attendant que le virus passe... et profitez en pour vous retrouver, passer du temps avec vos proches, en espérant ( même si cela est utopiste) que cette pandémie fasse évoluer les mentalités et changer notre monde...
JS30: Quel est ta situation actuellement? Ou est ce que tu es? Et dans quel état d’esprit?
MB: Je n’ai pas le temps de m’ennuyer, j’alterne entre 120h de garde dans une caserne sur Paris et 120h de repos ou je rentre en Lozère me ressourcer.
Le temps passe donc beaucoup plus vite, je plains d’ailleurs ceux qui sont enfermés dans leur appartement, avec des enfants...mais il faut prendre son mal en patience.
JS30: Tu continues à t’entraîner? Qu’est ce qui est prévu à ton programme d’entraînement?
MB: Oui je continue de m’entraîner quotidiennement, en caserne deux fois par jour, cardio le matin et musculation le soir.
Et en Lozère j’ai la chance de pouvoir courir 1h par jour à côté de la maison dans la nature, de faire du home trainer, du renforcement musculaire...
JS30: Tu vois la suite des événements de quelle façon? Comment tu occupes tes journées?
MB: Les choses ne vont pas beaucoup changer pour moi, quand je suis sur Paris le rythme est toujours aussi intense.
Et en Lozère je n’ai pas le temps de m’ennuyer, je profite de ma maman, de mon chien, je m’entraîne, je révise, je lis, je joue à la pétanque... vivement la fin du confinement pour pouvoir partir loin dans la nature, sans limite de temps, dans nos grands espaces comme l’Aubrac ou les Gorges du Tarn, de retrouver des amis...
JS30: On ne peut pas faire un trait sur ces 8 mois de compétition, que retiens tu de la 1ere partie de saison, quel est ton meilleur souvenir?
MB: J’avais déjà mis l’athlé entre parenthèses pour me préparer sérieusement à la BSPP ( Brigade Sapeurs-Pompiers de Paris), donc je n’ai pas de souvenirs de courses à raconter sur cette première partie de saison.
Il me tarde simplement de raccrocher un dossard, de partir dans la montagne, de m’entraîner avec mon coach Christopher Berraho, de courir aux couleurs d’Ales, mais c’est pareil pour tout le monde, il va falloir attendre...
JS30: Une anecdote sur ton confinement?
MB: Je ne suis pas une star du vélo mais j’ai ressorti un vieil home trainer de mon garage pour garder la forme.
Hier j’ai mal accroché ma roue arrière...en 2 coups de pédales je me suis retrouvée par terre, la tête dans la baie vitrée de mon salon, c’était assez comique!! Heureusement aucun voisin ne m’a vu (rires)
JS30: Allez pour finir, quel est ton message face à ce Coronavirus?
MB: Prenez bien soin de vous en cette période difficile, il faut s’armer de patience en attendant que le virus passe... et profitez en pour vous retrouver, passer du temps avec vos proches, en espérant ( même si cela est utopiste) que cette pandémie fasse évoluer les mentalités et changer notre monde...
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