L’USAM S’IMPOSE ET SE QUALIFIE AUX FORCEPS

L'USAM aura toujours mené dans la première mi-temps qui l'opposait au Dinamo Bucarest dans ce match si important d'EHF European League. En effet, avant le match, les joueurs de Franck Maurice savaient qu'ils seraient qualifiés en cas de victoire. Et ce avant même l'affrontement avec le Fuchse Berlin programmé dans...24 heures. Un club berlinois qui par un tour de passe passe, s'est évité le déplacement du jour a Presov et qui arrivera donc frais dans la capitale Gardoise. Il fallait donc gagner et la Green Team prenait le match par le bon bout avec un récital Mohammad Sanad de 6 des 10 premiers buts nîmois bien lancé a plusieurs reprises par son quaterback préféré Rémi Desbonnet. Nîmes devant et Nîmes qui s'échappait par deux fois 11/7 puis 13/9... Mais la cosmopolite équipe roumaine et son demi centre angolais Rome Antonio Hebo, qui maintenait a lui seul son équipe à flot, imposait sa hargne et revenait au score juste avant la mi-temps 15/14. La deuxième période débutait de la plus mauvaise des manières pour les usamistes. 6 minutes sans marquer. Rémi Desbonnet avait beau donner de la voix, l'USAM encaissait un 0/3 et se retrouvait derrière au score pour la première fois du match. Jean Jacques Acquevillo sonnait la révolte bien aidé par Vidko. La Green Team repassait devant mais ces roumains avaient décidé de ne rien lâcher. Toujours à la limite, bien aidé par un duo d'arbitres polonais qui laissait beaucoup (trop) jouer, Bucarest était toujours en vie au moment d'attaquer le money Time. Mais Jean Jacques Acquevillo était décidément intenable en cette seconde mi-temps. Il donnait  aux nîmois 3 buts d’avance à 3 minutes de la fin. Mais les roumains revenaient encore et toujours et l’USAM s’en remettait à ses joueurs d’expérience. Vidko trouvait Michael Guigou qui envoyait la Green Team en 8e de finale. La dernière action était anecdotique, l’USAM s’imposait 33/29.


Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LES NÎMOISES N'Y ARRIVENT TOUJOURS PAS

"4 MONTÉES EN 4 ANS...JE SUIS FIER. MAIS ON NE COMPTE PAS S'ARRETER LA"

UZES N'A MÊME PAS PU FINIR LE TRAVAIL