LES MATCHS SE SUIVENT ET SE RESSEMBLENT POUR LE STADE BEAUCAIROIS FUTSAL
"On a fait un match équitable avec Plaisance mais y a toujours une petite erreur ou un brin de malchance qui vient casser notre dynamique. On encaisse des buts à des mauvais moments. Pourtant, encore une fois, on marque les premiers..." Il était lucide Yoann Soum, le coach du Stade Beaucairois version Futsal après cette sixième défaite de la saison en autant de matchs. Pourtant, une nouvelle fois, tout avait bien commencé pour les Beaucairois qui marquaient les premiers par Andres Jimenez. Mais une nouvelle fois, ils n'arrivaient pas à tenir ce score assez longtemps et à peine deux minutes après, ils encaissaient un but puis deux minutes plus tard un second. Plaisance-Pibrac enfonçait le clou quelques minutes plus tard en marquant un troisième but juste avant la mi-temps. De retour des vestiaires, les gardois jouaient leur va-tout et ça payait. Nabil Echarif réduisait le score mais comme en première mi-temps, Beaucaire encaissait de suite un nouveau but...à peine une minute après leur réduction du score. Le dernier but qui portait le score à 5/2 pour les locaux était anecdotique, les joueurs de Yoann Soum s'inclinaient et ne lâchaient pas leur place de lanterne rouge. Le coach gardois ne voulaient pas abdiquer "Il y a plein de facteurs contre nous mais on veut se remettre en question. On souffre encore du Covid. On a perdu Anthony Grasso et Nabil Echarif qui s'entraine peu avec nous, se remet juste en selle. Il fallait forcément changer quelque chose et ça va commencer tactiquement. On a fait une réunion de crise et on s'est tous remis en question. C'était le plus important. Tous ces facteurs font qu'on rame mais je reste quand même confiant pour le maintien. on avait besoin de se dire les choses. Y a aussi le fait que les autres se sont bien renforcés et nous peut être un peu moins. On s'est peut-être laisser griser par els bons résultats de ces dernières années. Maintenant, il faut se maintenir. On va jouer Ajaccio, Chavanoz, Pfastatt avant les fêtes, on reçoit deux fois d'affilé. C'est maintenant ou jamais"
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